Logo Yakajouer . papier
.
.
logo ONG Caminho
 

Solidarité Internationale
Pourquoi ?
Etats des lieux
Projet 2003
Action 2002
La presse en parle
Evénements à venir
Album photo
Nous soutenir

perroquet

En février 2002, Yakajouer et ses partenaires ont mis en place les premières activités de Capoeira Angola pour les enfants des quartiers sensibles de la zone sud de Teresina (Brésil).

Ce projet a pu voir le jour d’une part grâce à une aide finacière obtenue par l’association Yakajouer auprès de la Guilde Européenne du Raid (financement du Ministère des Affaires Etrangères français) et d’autre part par diverses manifestations organisées au cours de cette année.

Les fonds récoltés étant très modestes, le bénévolat au Brésil et en France a eu une importance déterminante dans la mise en œuvre de cette première année d’activité.

Programme d’activité établi de février à décembre 2002

• Quatre communautés (favelas) impliquées : Angelim, Santa Luzia, Santa Cruz, São Raimundo

• Cinq cours dispensés

• 140 enfants et adolescents (de 5 à 20 ans) bénéficiaires

• environ 500 bénéficiaires indirects (familles, habitants, autres jeunes)

• Trois professeurs encadrant : Maitre Abelha, Piaui et Pantera

• Quatre éducateurs (un par quartier) et la responsable des activités sportives de la Pastorale des mineurs

• Plus de 6000 repas distribués aux jeunes préparés par des mères de familles du quartier

• Mobilisation des habitants pour faire vivre le projet : implication dans sa mise en œuvre, dans le suivi et dans la relation avec les jeunes

• Premières démonstrations prévues en fin d’année mais problème d’équipement en terme d’instruments de musique et de vêtements afin de produire un spectacle de qualité, valorisant pour les jeunes

Avant la mise en place de ce projet dans ces quartiers sensibles, une vague de violence juvénile ayant entraînée la mort de trois jeunes a secoué les quartiers : il s’agissait d’une guerre des gangs. Depuis que certains d’entre eux participent à ces ateliers, les agressions ont diminuées. Nous espérons que ce calme relatif va perdurer et nous nous employons à faire vivre et développer ce projet dans l’espoir de remédier à cette violence de façon définitive.